PAGE D'AUTEUR de Monique

PAGE D'AUTEUR de Monique

Du voyage à l'écriture !

Quand L'apprentie écrivaine utilise ses voyages pour imaginer une histoire

 

 

 

2017 -  Un roman qui se situe au Maroc et en France

 

 

Couverture

 

 

 

Ce roman est  disponible sous le pseudonyme de Monique-Isabelle Merly 

 

chez l'éditeur  :  https://www.atramenta.net/books/commen 

  • Version PDF (lecture sur ordinateur)
  • Version EPUB (lecture sur liseuse/tablette)
  • Version Amazon Kindle (lecture sur Kindle

 

mais également chez AMAZON, LA FNAC, LECLERC, et chez de nombreux libraires figurant sur internet.

 

 

 

 

 

Présentation :

 

 

Des photos mystérieuses, un livre dans un coussin entraînent l’héroïne de ce roman de Paris à Marrakech sur les traces de ces secrets qui parfois changent le cours d’une vie. De ces rencontres, elle déduira que parfois certaines vies comportent de troublantes similitudes, mais surtout que nul ne peut prétendre connaître ceux qui partagent notre quotidien.

Ce résumé semble banal ! Il ne l'est pas ! Pour vous en convaincre, l'auteure vous invite à acheter ce livre pour découvrir un récit s'inspirant des poupées gigognes. Bonne lecture !

 

 

 

 

 

 

Un extrait - page 77 à 79

 

 

HUITIÈME ET DERNIER JOUR À MARRAKECH

 

Dès que je posai mes pieds sur le carrelage de la salle de bains, je ressentis une profonde douleur au creux de l’estomac. Pour la dissiper, je plongeai mon visage dans l’eau du lavabo, brossai violemment mes cheveux et exécutai quelques torsions du buste dans un désordre absolu. Puis, j’enfilai à la hâte une tenue en harmonie avec la sortie projetée au jardin Majorelle. Mais avant de partir, j’étalai sur mes joues une légère poudre dorée destinée à
effacer les traces d’une nuit sans sommeil.
La lenteur de mes mouvements était telle que je me désintéressai même de mon petit déjeuner et luttai avec la porte de ma chambre qui ne voulait pas se fermer. J’aurais dû garder le lit, mais quelque chose en moi me forçait
à le quitter. Mes amis lyonnais, la veille au soir, m’avaient loué avec passion les splendeurs de ce jardin. Ils m’avaient convaincue que le bleu Majorelle de ce lieu m’apaiserait.
Près de la piscine, je reconnus Ahmed qui descendait nonchalamment les marches de l’autobus. Pas plus que moi, il ne s’attendait à me rencontrer. Quand il posa son regard sur moi, je vis combien son trouble rendait son teint presque terreux. Pendant que ses yeux s’enfuyaient sur les silhouettes des touristes qui se dirigeaient vers lui, je notai que ses mains jouaient du piano
sur sa djellaba beige.

 

En s’occupant d’eux, il m’aida à le fuir. Le comptage des participants clos, il pivota sur ses talons et s’avança vers moi. Mais avec une désinvolture calculée, je levai un pied puis l’autre sur la marche du véhicule à la recherche d’un fauteuil.
Je choisis le premier qui se présenta à moi. En me concentrant sur le paysage, j’ignorai superbement sa présence. Soudain, une voix qui n’était pas celle de Petit Guide retentit dans le microphone. Surprise, je me soulevai légèrement de mon siège. Près du chauffeur, un individu récitait un discours
sur Jacques Majorelle pendant qu’Ahmed scrutait la vitre du bus, indifférent à son environnement. Un estivant l’interrogea sur la vie de Jacques Majorelle à Marrakech. L’homme au microphone répondit que l’artiste avait voyagé auparavant en Espagne, en Italie et en Égypte, et que pour se guérir de la tuberculose, il était venu en 1917 au Maroc où il séjourna jusqu’à sa mort survenue en
1962.


Pour éviter de me retrouver en face d’Ahmed, je sortis par la porte arrière. Je laissai le groupe se perdre dans les allées et me dissimulai derrière le pilier d’un pavillon au fond du terrain. Cette bâtisse épousait les couleurs des cyprès, des bougainvilliers, des bananiers, des bambous, des lauriers, des géraniums, des hibiscus, des palmiers, des yuccas, ainsi que d’une multitude de fleurs aux noms sophistiqués. Près de moi, deux personnes parlaient de
l’atelier « art déco » qui avait été construit en 1931 par l’architecte Sinoir ainsi que de l’œuvre commencée par Jacques Majorelle puis poursuivie par Yves Saint-Laurent et par Pierre Bergé.
Depuis le kiosque, je me dirigeai vers la fontaine carrée peinte dans le célèbre « bleu Majorelle ». Mais à ma grande frustration, la configuration de cette source d’eau m’empêcha de photographier le musée berbère et la librairie. Par contre, elle ne me masqua pas l’étreinte passionnée d’Ahmed et de l’homme au microphone. Paralysé de saisissement, mon cerveau en bloqua

tout ordre de fuite. Dissimulée derrière de gigantesques plantes, je les contemplai dans un état proche de la sidération. Enlacés lascivement pendant une durée qui semblait ne plus pouvoir s’arrêter, ils s’empoignèrent ensuite comme pour se battre. Mais en fait, je compris qu’ils s’embrassaient fougueusement, pendant que leurs mains se palpaient à travers leurs djellabas et que leurs souliers vernis s’écrasaient les uns sur les autres. Tout à coup, Ahmed repoussa son compagnon et se mêla, comme si de rien n’était, aux groupes de touristes qui bavardaient au milieu de l’allée.
Mon cœur m’envoya des élancements affolés, mes membres se raidirent puis soudain mon corps s’affaissa par étape. Je m’écroulai sans un cri, dans un vide abyssal. À mon réveil, j’entrevis d’abord des pieds blancs dans des sandales et des jambes qui n’en finissaient pas de s’allonger. Au moment où je me demandais où elles allaient s’arrêter, un visage aux lignes régulières se présenta entre les rayons du soleil. J’en fermai les yeux de surprise.
— Êtes-vous blessée ?
— Je ne le pense pas. J’ai le sentiment d’avoir été piquée par
des milliers d’insectes. Mais cela ne me gratte pas.
— J’ai eu très peur pour vous ! Je n’ai jamais vu quelqu’un d’aussi blême, lové de cette façon autour d’une plante ! Je m’étais perdu dans les allées et j’ai assisté à votre chute. Je me suis simplement précipité pour vous écarter de ce cactus auquel vous vous accrochiez avec tellement de force.
— Je suis confuse d’avoir perturbé votre promenade. Je vous
remercie infiniment pour votre intervention. Cette chaleur m’accable ! Je ne la supporte pas. Je préfère regagner mon hôtel.
— C’est normal ! Il faut dire que cet après-midi, la température à l’ombre frôle les 45 degrés ! Je vous conduis près des voitures garées devant la porte. Me permettez-vous de vous raccompagner ?
— Volontiers, mais je ne veux pas abuser. Avez-vous eu le temps de flâner dans ce magnifique jardin ?

 

 

 

 

 

 

 

 

  • Cette histoire m'a été inspirée par mes séjours à l'étranger.

 

Voir mon lien :
passions-oxygene.blog4ever.com

 

Pendant de nombreuses années, j'ai filmé, photographié .

 

J'ai également récolté les confidences de plusieurs femmes intriguées par ma façon de voyager . 

 

J'ai donc décidé d'utiliser quelques-unes de ces conversations pour écrire ce roman en inventant  des personnages de femmes qui n'avaient jamais existé.

Un portrait était en fait composé de plusieurs personnes.

 

L'action par contre se situait à Marrakech une ville que j'ai visitée plusieurs fois. 

 

 

 

 

Que dire ?

 

Cet ouvrage a intéressé ceux qui connaissaient cette ville et ce pays. Ils retrouvaient avec plaisir les lieux que j'avais décrits.

 

Cependant, ce roman en forme de carnet de voyage a suscité quelques critiques.

Ce que je conçois.

 

De plus, la fin qui a sombré dans la facilité n'a pas réellement retenu l'attention.

 

Ce récit mériterait une réécriture.

 

 

 

Cet avis n'engage que moi..

 

 

 


20/01/2025
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Un livre que l'auteure a adoré écrire !

 

De tous les ouvrages que j'ai publiés, celui-ci est peut-être celui auquel je me suis le plus attaché.

 

L'idée a germé en entendant parler d'un fait divers à la radio.

 

J'ai placé les personnages qui n'ont jamais existé dans des lieux que je connaissais. C'est ainsi que l'histoire a débuté. 

Par contre, j'ai mis beaucoup de temps pour trouver une fin originale.

 

Encore aujourd'hui, quand je relis certains passages de ce livre, je me demande si c'est moi  qui l'ai écrit.

 

 

 

🖍📖✏️

 

 

 

 

En 2024 - "De Paris à Florence -  Trois femmes - trois destins" 

 

 

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qui se commande sous le nom de Monique CLOTURAT

 

chez AMAZON , FNAC et chez de nombreux libraires figurant sur internet. 

 

Publié par l'éditeur https://www.atramenta.net/books/commen  , il est disponible en :

 

  • Version Amazon Kindle (lecture sur Kindle)
  • Version papier

 

 

Présentation :

 

 

 

 

 

 

Extrait :  Pages 6 et 7

 

J’ai lancé cette idée, mais je n’ai jamais
envisagé de la contraindre à partir avec nous. D’ailleurs, je

pensais qu’elle allait refuser. Peut-être aurais-je dû m’abstenir de mentionner son ancien compagnon.
— Où réside le problème ? Peux-tu m’expliquer ?
— En fait, Claire traverse une période compliquée. Pierre,
dont elle partageait la vie depuis plusieurs années, l’a quittée.
Depuis, il habite avec une jeune femme qui doit accoucher
prochainement de leur premier bébé. Cette rupture l’a
anéantie, surtout quand elle a appris l’imminence de cette
naissance. Elle appréciait la présence des enfants de ses
relations, mais refusait d’envisager un tel projet pour elle.
Elle ne supportait pas l’idée que sa silhouette se déforme
pendant neuf mois. En tant que médecin, j’ai tenté de la
persuader que, grossesse ou pas, tous les corps s’abîment un
jour ou l’autre. J’ai tout fait pour lui démontrer que devenir
mère représente une belle aventure, même si parfois les
choses se compliquent. Avec une violence incroyable, elle a
toujours réfuté mes arguments. Progressivement, j’ai écarté
ce sujet de nos conversations, comme celui relatif à la passion qui l’enchaînait à Pierre. Là aussi, elle combattait avec
pugnacité la moindre de mes allégations. Elle essayait de me
persuader et de se persuader que Pierre et elle nageaient
dans le bonheur et qu’ils conjuguaient le verbe « aimer »
avec la même intensité qu’au début de leur idylle. Or, les
disputes auxquelles j’ai souvent assisté démentaient ce
qu’elle affirmait. Pour ne pas la peiner, j’ai cessé de lui prodiguer des conseils qu’elle n’appliquait pas, car elle ne les
admettait pas. Elle s’accommoda fort bien de mes silences,
et nos rapports gagnèrent en sérénité

 

Jusqu’au jour où Pierre annula les réservations pour leur
voyage en Martinique. J’ai évité de lui remémorer ce que je
lui avais déclaré à plusieurs reprises sur la relation qu’elle
entretenait avec cet homme. Pour la secouer, je l’ai exhortée à partir

 

seule en vacances. J’avais beau mesurer la profondeur de son mal-être, j’ignorais comment la soutenir, et
surtout comment me conduire avec elle. La carapace qu’elle
enfilait en permanence ne m’incitait guère à pénétrer dans
son jardin secret, même si, de temps à autre, j’y apercevais
des brèches réparées avec plus au moins de zèle. Ces
espaces, qui parfois s’ouvraient sur un pan de sa personnalité, m’intriguaient. Surtout quand elle s’empressait de les
combler en me pressant de questions sur l’art, la musique
ou la lecture. Des activités qu’elle méprisait, mais auxquelles elles s’efforçaient de s’intéresser pour se rassurer
ou pour me rassurer. La solution pour l’extraire de son
marasme sentimental s’est imposée à moi lorsque je lui ai
suggéré de se joindre à nous pour respirer l’air florentin en
Italie. J’ai omis de lui préciser que nous visiterions des
monuments. Tout en respectant sa détresse, j’ambitionnais
de la conduire sur le chemin de la guérison en lui présentant des voies opposées à celles qu’elle avait l’habitude
d’emprunter. Même si ses goûts diffèrent des nôtres, je
demeure persuadée que nous trouverons à Florence l’occasion de lui démontrer que la beauté peut aussi se nicher
ailleurs que dans les stations balnéaires qu’elle hante depuis
toujours avec une amusante persévérance.
— Tu es un excellent médecin, mais le seul être que je
connaisse capable de concevoir un tel plan pour quelqu’un
d’autre que toi ! Je t’adore !

 

 

 

 

 

 

QUE DIRE ?

 

L’HISTOIRE  se construit en forme de triangle :

PARIS - FLORENCE - PARIS.

 

Trois amies s’envolent pour Florence en Italie.

Deux y resteront le temps d’un week-end.

La troisième rentrera à Paris le lendemain matin sans les prévenir.

Les deux premières visiteront la ville tout en s’interrogeant sur ce départ précipité et échangeront des confidences intimes.

Ce n’est qu’à leur retour à Paris que la troisième leur avouera d’une façon insolite l’énormité de ses propres secrets.

Elles y apprendront le poids des mots, mais également le fait qu’il ne faut jamais se fier aux apparences.

 

 

Certains de mes lecteurs ont adoré visiter ou revisiter la ville de Florence en Italie. C'était mon but !

 

D'autres ont détesté cette partie qu'ils ont jugé trop littéraire et trop carnet de voyage. J'ai regretté ces remarques, car pour ma part, je déplore souvent l'absence totale de renseignements sur les paysages, les pays, les villes mentionnés dans certains romans.

 

Certains internautes ont trouvé les conversations trop longues et trop "ampoulées".

 

Ils ont même affirmé que cela s'adressait à une société élitiste. Un argument que je réfute.

Je crois savoir que les brochures touristiques développent plus que je ne l'ai fait dans ce roman les informations destinées aux voyageurs.

Mais bon !

 

Je respecte ces opinions et accepte le fait qu'il me faudra revoir peut-être ces dialogues qui manquent de naturel.

 

Par contre, la majorité a apprécié la construction du récit.

 

 

Pour ma part, je considère que cet ouvrage mériterait une nouvelle correction.

 

 

 


20/01/2025
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Réécriture d'un premier roman

✏️🖌🖍📖📰
 
 
 
En 2019 -  publication d'un livre sur les souvenirs d'une dame de 90 ans- offert à la famille .
Il n'a jamais été question d'en faire la publicité.
 
 
 
📝✏️🖌🖍📖📰💻💻🖨
 
 
 
 
En 2020 - réécriture   :
 
"Et si la vie n'était qu'une succession  d'apparences"
 
qui devient :
 

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commercialisé sous le nom de    Monique CLOTURAT 

 

chez les éditions  FILOSPHERE

https://www.filosphere.fr
version PAPIER

 

ainsi que chez AMAZON, La FNAC et chez de nombreux libraires figurant sur internet.

 

 

 

Présentation :

 

Un roman dans un roman, dont on se demande qui l’a écrit, l’auteure ou la narratrice ?

Un mystère va amener celle-ci de Paris à Marrakech, sur les traces d’un homme mystérieux aperçu sur une vieille photo. Puis une aventure, et une enquête qui la concerne peut-être elle-même et sa famille, plus qu’elle ne le croit. Mais à son retour à Paris, une fois résolu, ce mystère ne deviendra que le début d’une autre quête, voire d’une renaissance pour l’auteure elle-même.

 

Mais celle-ci hésite : doit-elle réécrire son livre déjà édité auparavant ? Doit-elle y narrer jusqu’à ses amours ?

Ce défi, elle va finalement le relever et en démontrer la pertinence.

Ce livre en est la preuve.

 

 

 

 

 

 

Extrait : Pages 5 et 6

 

 

Ce matin, la personne chargée de la distribution du courrier
a déposé dans ma boîte aux lettres un exemplaire du premier roman
pour adultes que je viens de publier.
Jusqu’à présent, je m’étais surtout spécialisée dans les livres destinés
aux enfants. En examinant les poupées gigognes bleues qui occupent
tout l’espace sur la couverture, tout en accordant suffisamment de place
au titre et à mon nom d’auteure, j’éprouve une émotion indéfinissable.
Celle que ressent n’importe quel écrivain quand il découvre pour
la première fois son ouvrage achevé, résultat de plusieurs mois ou
plusieurs années de labeur. Je tourne les pages avec la lenteur de celle
qui s’étonne encore d’avoir exprimé autant d’idées dans un livre.
La sonnerie du téléphone m’arrache à cette réflexion.
Dans l’appareil, mon éditeur débite avec toujours autant de volubilité
l’essentiel du message qu’il a à me transmettre :
— Comment allez-vous, Stéphanie ?
— Bien, je vous remercie. Je viens de recevoir mon roman.
— Parfait ! Mon équipe a créé hier votre site sur Internet. Vous tapez
le mot « Merly » pour l’ouvrir. Quelques librairies avec lesquelles
nous travaillons ont accepté de proposer votre ouvrage. Plus tard, nous
lancerons une campagne publicitaire. Nous veillerons à ce que les
deux publics se rencontrent. Excusez-moi, je dois prendre une autre
communication sur ma ligne privée. À plus tard, chère auteure.
Après avoir échangé quelques formules de politesse avec mon
interlocuteur, je posai délicatement le téléphone au milieu des
documents éparpillés sur mon bureau.
À proximité, mon vieil ordinateur allumé attend que je tape le terme
magique « Merly ».

5

 De singuliers sentiments m’assaillent : la curiosité, la fierté, le plaisir,
mais aussi la peur, beaucoup de peur.
Devant l’écran, je songe aux propos enflammés de mon éditeur qui
affirmait, au début de cette aventure, que j’avais le talent nécessaire
pour imaginer une belle histoire. Ses encouragements constants
ne m’ont jamais convaincue de ma qualité d’auteure de livre pour
adultes. À mon sens, le domaine dans lequel j’excelle demeure celui
qui touche au roman pour enfants.
Le décès de ma tante en décida autrement. En effet, après son
enterrement, j’ai trouvé dans ses affaires des photos où elle s’affichait
avec un homme. Au verso de chacune d’entre elles figurait un message,
ainsi qu’une adresse à Marrakech.
Je décidai donc, afin d’en apprendre un peu plus, de m’envoler pour
le Maroc. Fragilisée par une récente rupture amoureuse douloureuse,
je n’étais nullement préparée à affronter le bouleversement qui me
submergea à ma descente d’avion. D’emblée, j’eus le sentiment de
retrouver mon pays d’origine, alors que je n’y avais jamais mis les
pieds.
C’est donc ce voyage qui me détermina à suivre les conseils de mon
éditrice en tentant cette aventure littéraire.

l’héroïne principale. L’auteure nous embarque dans un voyage entre
la France et le Maroc, un jeu de piste que nous suivons pas à pas.
Une succession d’apparences qui va se montrer très perturbante. Un
roman agréable, des personnages parfaitement crédibles et finement
observés. Un petit bémol cependant… Une fin (un peu) trop facile, qui
ME laisse sur ma faim. »
L’analyse de cette madame C. m’intéresse.
Elle considère Stéphanie comme l’héroïne du récit, alors que ma tante
était censée incarner ce rôle.
Au début de son commentaire, cette dame parle d’une succession
d’apparences. Dommage qu’elle ait oublié de s’expliquer sur cette
allusion.
Par contre, elle a raison de signaler que j’ai bâclé la dernière partie de
ce récit. Je n’en pouvais plus de devoir sans cesse corriger !
Le second avis émane de madame F. :
« Isabelle-Monique a publié des extraits très longs de son roman.
L’écriture est très fluide et on apprend beaucoup de choses sur ce pays.
L’histoire est absolument passionnante. »
Cette madame F. ne m’éclaire guère sur ce qu’elle a retenu d’intéressant
sur le Maroc. C’est le genre de phrase que j’utilise quand le contenu
d’un livre ne m’a pas captivée.

Afin de découvrir mon site internet, je tape le mot de passe. Puis, je
navigue dans le champ des icônes afin d’y inscrire « Merly » dans
le cadre prévu. Autant d’opérations qui font soudainement briller de
mille feux mon nom de plume et le titre de mon roman.
Dès lors, je me promène avec aisance de la photo de mon livre aux
extraits sélectionnés pour attirer les lecteurs et je finis ma course dans
l’univers des commentaires. Une démarche qui me réservera quelques
surprises.

La troisième appréciation est rédigée par madame A. :
« Je suis allée lire quelques pages de vos extraits. Pas vraiment
accroché. Désolée ! Opinion toute personnelle… Certes, c’est très
“correct”. Mais je demande plus à un texte. »
Le témoignage de madame A. me blesse.
J’aurais bien aimé qu’elle m’en dise un peu plus ce qu’elle attendait
de mes textes. Comment peut-on se faire une opinion en ne lisant que
quelques pages ?

Au hasard, je clique sur le premier message, rédigé par madame C. :
« Un ouvrage où les destins se croisent, se superposent, s’emmêlent.
Des personnages aux vies “bien rangées” et ce grain de sable qui vient
bousculer le quotidien sans histoires et “cocooning” de Stéphanie,

Le quatrième commentaire vient de madame S. :
« Vous avez beaucoup d’imagination et vous savez utiliser ce que vous
avez observé, mais il y a un mais…


6

 

 

 

 

 

Que dire ?

 

 

 

Ce roman est malheureusement sorti lors de l'apparition du  COVID.

 

Ce virus qui a paralysé la planète.

 

Il devait se retrouver dans des salons du livre de ma région, mais les mesures de confinement prises par le gouvernement ont annulé ce projet.

 

 

 

Pourquoi ai-je souhaité réécrire : 

« Et si la vie n’était qu’une succession d’apparences » ?

 

En fait, pendant les deux années où l’activité de notre pays était à l’arrêt, j’ai eu le temps de le relire et d’établir un diagnostic sévère.

 

J’ai d’abord décidé de modifier le titre. Je l’ai appelé « Apparences ». Ce qui à mon avis n’était pas une bonne idée.

 

Dans la foulée, j’ai également changé d’éditeur. Ce qui m'a permis d'aborder l'écriture avec un autre accompagnement.

 

C’est ainsi que je suis parvenue à réécrire ce roman. Mon but était de prouver qu’une histoire pouvait se réécrire plusieurs fois.

 

 

Ai-je réussi ? 

 

L’avis de mes lecteurs était partagé.

 

Certains ont trouvé le premier ouvrage plus intéressant que le second.

 

D’autres, au contraire, ont préféré le premier.

 

 

 

Pour ma part, je considère qu'il nécessiterait une autre correction.

 

 

 

Cet avis n'engage que moi.

 

 

 

 

 


20/01/2025
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NAISSANCE D'UNE PASSION !

 

DSCN0128

 

 

 

 

 

La lecture m'a apporté l'amour des mots et le désir de les utiliser pour construire ensuite des histoires.

 

C'est ainsi que j'ai mis au monde des ouvrages qui accompliront un autre destin, celui de m'accompagner à chaque instant de ma vie.

 

Leur présence me rappellera le plaisir que j'ai éprouvé à les écrire.

 

Ils n'encombreront jamais les étagères des libraires. 

Je ne suis ni Colette, ni Simone de Beauvoir, ni tous ceux et celles qui ont fait briller la langue française dans le monde.

 

De plus, mon âge avancé ne représente pas un futur prometteur pour les éditeurs !

 

 

Cependant, je prends le risque de vous les présenter globalement sur cette page. 

 

Pour en savoir plus sur eux, je vous invite à consulter les autres articles figurant à droite de la page d'accueil.

 

 

 

 

🖍📖✏️

 

 

 

 

2015 -  Un témoignage sur les traumatismes liés à la stérilité et sur les difficultés de l'adoption.

 

 

Couverture

 

 

 

2017 -  Un roman qui se situe au Maroc et en France.

 

 

Couverture

 

 

 
 
Ces deux livres sont disponibles sous le pseudonyme de
 
Monique-Isabelle Merly 
 
 
chez l'éditeur   ATRAMENTA
 
  • Version PDF (lecture sur ordinateur)
  • Version EPUB (lecture sur liseuse/tablette)
  • Version Amazon Kindle (lecture sur Kindle
 
ainsi que chez AMAZON, LA FNAC, LECLERC  et chez de nombreux libraires figurant sur internet. 
 
 
 
 
 
En 2024 - publication sous le pseudonyme de
1408-sterilite-et-adoption-ces-perles-qui-interrogent

 

Il est disponible  chez l'éditeur ATRAMENTA

 

ainsi que  chez AMAZON, La FNAC et chez de nombreux libraires figurant sur internet. 

 

 

  • Version PDF (lecture sur ordinateur)
  • Version EPUB (lecture sur liseuse/tablette)
  • Version Amazon Kindle (lecture sur Kindle)
  • Version papier

 

 

 
🖍📖✏️📝
 
 
 
En 2019 -  publication d'un livre sur les souvenirs d'une dame de 90 ans- offert à la famille et pour lequel aucune publicité n'a été réalisée.
 
 
 
DSCN8979

 

 

 
 
 
 
En 2020
 
réécriture  : "Et si la vie n'était qu'une succession  d'apparences"
 
qui devient :
 

51phs0fdysl_9324726

 

 

 

commercialisé sous le nom de

Monique CLOTURAT

 

chez les éditions FILOSPHERE,  AMAZON, et chez de nombreux libraires figurant sur internet.

 

version PAPIER.

 

 

 

 

 

 

 

En 2024 - "De Paris à Florence -  Trois femmes - trois destins" 

 

 

1485-de-paris-a-florence_th

 

 

 

qui se commande sous le nom de   

Monique CLOTURAT

 

chez AMAZON, La FNAC,  et chez de nombreux libraires figurant sur internet. 

 

Publié par l'éditeur ATRAMENTA , il est disponible en :

 

  • Version Amazon Kindle (lecture sur Kindle)
  • Version papier

 

 

 

 

 


20/01/2025
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Qui se cache derrière elle ?

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Mariée, mère et grand-mère, cette auteure est née en 1950 dans le département de la Gironde.

 

À la retraite, elle développera son goût pour la musique classique, la cuisine, la nature, l'informatique, la lecture,  l'écriture, la communication, la photographie, et les voyages.

 

En 2009, elle créera un blog de voyages afin de partager ses photos et ses impressions avec des internautes.

Voir : passions-oxygene.blog4ever.com

 

Egypte janvier 2008 N° 2 201

 

 

 

 

Depuis sa plus tendre enfance, elle voue une passion immodérée pour la lecture.

 

Des auteurs comme Honoré de Balzac, Émile Zola, Stéphan Zweig, Boris Vian, Aragon, Simone de Beauvoir,  Colette, Pagnol, et tant d'autres  l'accompagnent encore aujourd'hui dans tous les actes de sa vie.

 

Un engouement qui l'amènera à créer en 2015 un blog de littérature intitulé www.baronne-merly.com.

Elle y publiera de modestes chroniques sur les livres qu'elle  a lus ou relus.

 

 

Cette activité l'aidera en 2015 à écrire son premier roman diffusé par   https://www.atramenta.net/books/commen.

 

D'autres ouvrages suivront distribués sur internet sous un pseudonyme, mais aussi sous son nom de femme mariée.

 

En 2018, elle sera reçue par : 

 

 

https://www.radiofrance.fr/francebleu/podcasts/l-invite-de-france-bleu-perigord-midi/monique-isabelle-merly-ne-detruit-plus-ses-ecrits-8492109

 

 

Elle découvrira un exercice nouveau pour elle. Celui qui consiste à parler à l'antenne des ouvrages qu'elle a publiés.

 

C'est ainsi qu'elle avouera ne plus déchirer ses écrits depuis la parution de son premier roman.

 

 

À ce jour, elle continue à lire, à écrire des articles dans son blog de littérature afin de partager ses joies et ses désillusions avec ses lecteurs.

 

Elle envisage de reprendre la plume en 2025, mais n'a toujours pas trouvé l'inspiration.

 

 

 

Son parcours prouve que la lecture peut mener à l'écriture !

 

 

 

Vouloir, c'est pouvoir !

 

 

 

 


19/01/2025
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